StSMayChallenge - partie VI
8 June 2025 03:18 pm# Anneau
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« La fin d'une Ère » – La saga des Cazalet – Tome 5 – Elisabeth Jane Howard
3.5/5. Cet ultime tome de la saga, écrit de nombreuses années après le tome 4, qui fait entrer en lice la nouvelle génération et nous parle de personnages qui jusqu'ici n'avaient pas été au centre du récit, était-il absolument indispensable ? Non. Est-ce que j'ai été heureuse de retrouver une dernière fois la plume si parfaite d'Howard ? Oui.
« La colère, cette émotion mal-aimée » – Carole et Serge Vidal-Graf
3/5. Cette lecture s'inscrit dans une démarche personnelle entamée l'année précédente pour des raisons qui n'avaient rien à voir avec ce sujet mais qui ont changé de direction à un moment donné. Les années passant, je me mets beaucoup (beaucoup) moins souvent en colère qu'avant mais on est ce qu'on est, et ma foi, cette lecture n'était pas inutile je pense.
« Djinn » – Jean-Louis Fejtaine
3/5. Mouais. C'était pas mal, je m'attendais à quelque chose de plus "fantastique" mais l'auteur a cédé à ses amours et a finalement pris pour prétexte cette histoire de démon pour nous faire un cours sur les croisades. Bien, j'ai appris des choses mais sur le fond, je suis restée sur ma faim.
« Tant que le café est encore chaud » – Toshigazu Kawaguchi
5/5. J'ai vraiment beaucoup aimé ce livre, malgré un raté au démarrage. J'avais commencé, j'ai trouvé ça trop bizarre dans les premières pages, j'ai laissé tomber puis j'ai redonné une chance au livre et j'ai bien fait. De belles histoires, de beaux personnages, j'ai été émue et j'ai même versé quelques larmes (l'homme atteint d'Alzheimer). C'est beau, c'est touchant, le concept est top. Foncez !
« Le tango de la vieille garde » – Arturo Perez Reverte
2.5/5. Perez Reverte, j'aime. Mais surtout pour ses polars. Donc, oui, c'est magistralement écrit, pas de souci. Mais bon sang, qu'est-ce que j'ai pu m'ennuyer ! Je pense par contre que les gens qui s'y connaissent en tango, en danse en général, peuvent adorer ce livre (parce que ce sujet prend beaucoup de place et contribue à l'atmosphère générale - il m'a manqué, je pense, la culture générale qui va avec). Par ailleurs, je n'ai pas accroché aux deux personnages principaux, que j'ai trouvés antipathiques de bout en bout.
« Cancel ! » – Hubert Heckmann
4/5. Biais de confirmation : checked. Ce petit essai me conforte dans tout le mal que je pense de la cancel culture sauvage démultipliée par les réseaux sociaux. Ou quand la culture de l'effacement mène à l'effacement de la culture. On ne pourra pas dire qu'on ne l'aura pas cherché, ni mérité.
« L'Institut » – Stephen King
2.5/5. Vraiment, mais alors vraiment pas son meilleur. Peu crédible, trop de personnages caricaturaux (King a lui aussi cédé au "cahier des charges") voire artificiels (quand on coche volontairement des cases pour faire plaisir, on se plante), un héros qui manque de consistance, une histoire tirée par les cheveux et dont la fin n'est vraiment pas convaincante. Après ça reste du King, c'est bien écrit, l'immersion est présente, la contextualisation aussi, ainsi que dans le lot, un ou deux personnages intéressants.
« Druide » – Olivier Peru
2/5. Je n'ai pas compris les critiques ultra positives, voire dithyrambiques. Globalement mal écrit malgré quelques jolies choses çà et là, un scénario convenu, un héros qui manque de robustesse dans sa caractérisation, des personnages féminins quasi inutiles (à ce compte-là, autant les supprimer parce que si c'est pour ce résultat...), et un travail d'édition à revoir.
« Le petit livre du lâcher-prise » – Emilie Pernet
2.5/5. Rien qu'on ne sache déjà mais c'est toujours bon de se faire rappeler quelques évidences.
« Paris-Briançon » – Philippe Besson
4/5. Trèèès bien. Ca se lit tout seul d'une traite. Enfin, je retrouve du Besson qui arrête de se regarder le nombril. La plume est fluide, "facile" (mais tellement de travail derrière), au service d'une belle histoire tragique. Des rencontres qui se nouent l'espace d'un voyage en train de nuit. Délicates, fraternelles, sensuelles, pour le meilleur même si c'est pour aboutir au pire.
« Les Jardins de la Lune » – Le livre des Martyrs – Tome 1 – Steven Ericksson
3/5. Ouf ! Une brique. Très dense et surtout très exigeant. Trop sans doute. Critiques positives amplement méritées, le travail derrière est Titanesque (avec un T majuscule, oui). L'auteur a créé un univers il y a longtemps, qu'il a enrichi au fil des années, ça se tient, c'est cohérent, c'est immense, c'est complexe. Le lecteur est immergé sans préalable. Sur la forme, je suis cliente. Mais ici, le trop est l'ennemi du bien, l'absence d'explications est un vrai problème. IL y en a 9 autres comme ça, et là... je ne le sens pas.
« Du domaine des Murmures » – Carole Martinez
5/5 : THE coup de coeur de cette année, un grand merci à
« Lore » – Alexandra Bracken
3/5. Un pitch vraiment intriguant, de la mythologie grecque à tous les étages, j'achète. C'est du YA mais je ne le savais pas. Bon, ça se lit bien, au niveau du scenario, il y a de bonnes choses, des idées vraiment intéressantes mais le côté YA revient trop souvent au galop et j'ai passé l'âge en fait : les atermoiements existentiels d'adolescents ne me passionnent pas. Ceci étant, l'histoire en elle-même était sympa (et soyons justes : j'ai bien accroché à deux personnages secondaires qui étaient adorables ensemble :3)
« La grâce des Rois » – Tome 1 – Ken Liu
2/5. Je me suis royalement ennuyée à la lecture de cette brique de 900 pages qui s'est avérée être un traité de stratégie militaire. Fantasy quasi absente.
« Noyade » – JP Smith
4/5. Polar. Plusieurs années plus tôt un animateur abandonne un gamin paniqué par l'eau au milieu d'un lac sur une plate-forme en lui imposant de nager jusqu'à la rive s'il veut rentrer. Le gamin disparaît, on ne le reverra jamais. Aujourd'hui, l'animateur est devenu un promoteur fortuné et tout lui sourit jusqu'à ce que... Eh ben c'était pas mal du tout, et la fin est exactement comme elle doit être.
« Les Promises » – Jean-Christophe Grangé
3.5/5. Histoire intéressante, des personnages bien campés et cohérents, pas forcément des gens sympathiques mais on s'y attache. Suspens et fausses pistes. Après ça reste du Grangé, hein donc forcément, ça vire glauque (mais j'aime bien :3). Par contre, quand on choisit de raconter son histoire dans l'Allemagne Nazi, du point de vue nazi, eh ben faut assumer. Sauf que Grangé, il n'assume pas. Et ça m'a beaucoup agacée, d'où le 3.5/5.
« L'histoire la plus incroyable de votre vie » - Chitra Banerjee Divakaruni
3.5/5. Bien aimé le concept - des gens ensevelis après un séisme, décident de partager des moments de leur existence en attendant les secours et pour éviter de penser qu'ils vont mourir - des histoires parfois tristes, d'autres joyeuses mais ça ne me laissera pas un souvenir impérissable. Et la fin termine en queue de poisson et bof, quoi.
« La leçon du mal » – Yusuke Kishi
4.5/5. Dans son genre, magistral. Un prof parfait sous tous rapports est en réalité un foutu sociopathe. C'est japonais, je ne vous ferai pas l'affront de vous dire comme ça se finit, vous devez vous en douter. J'ai vraiment aimé... mais j'ai fait des cauchemars. Et pourtant, il m'en faut. Pas pour les âmes sensibles donc.
« Petits meurtres à Endgame » – Alexandra Benedict
2.5/5. Mon premier cosy Mystery et pas forcément le meilleur choix. Personnages non crédibles, des problèmes de rythme et on a du mal à y croire. Beaucoup de noeuds au cerveau pour pas grand-chose.
« La moitié d'un roi » – La Mer Eclatée – Tome 1 – Jon Abercrombie
4/5. Chouette découverte en cette fin d'année. Je n'avais jamais lu Abercrombie avant, eh bien j'aurais dû ! Plume incisive, dialogues aux petits oignons, ça défouraille sec et c'est sans concession. Reste 2 tomes, et cette fois ce sont des volumes de taille raisonnable.
01. | 02. | 03. | 04. | 05. | |||||
06. | 07. | 08. | 09. | 10. |
01. | 02. | 03. | 04. | 05. | |||||
06. | 07. | immortel | 08. | 09. | 10. |
01. | 02. | 03. | 04. | 05. | |||||
06. | ténèbres | 07. | immortel | 08. | 09. | 10. |
01. | 02. | 03. | 04. | je suis ici | 05. | ||||
06. | ténèbres | 07. | immortel | 08. | 09. | 10. |
01. | 02. | 03. | livre | 04. | je suis ici | 05. | |||
06. | ténèbres | 07. | immortel | 08. | 09. | 10. |
Nombre d'OS mis en ligne : 9
Maldonne (Aldébaran & Aphrodite, mention de Saga, Kanon, Thétis, Aioros)
Toi (Shura/DM)
Sans bonne raison (Mü & Shaka)
Maudit (Saga)
Errances (Mü)
Première(s) impression(s) (Aldébaran, Aphrodite, Dôkho)
Un jour pourtant, il faudra tuer (Saga, Aioros)
Même(s) joueur(s) (Shura/DM)
Victoire ou défaite : une question de point de vue (Next-Gen - OC)
=> Dont 5 de ma table 10_choix :
Table X
01. | 02. | 03. | livre | 04. | je suis ici | 05. | cellule | ||
06. | ténèbres | 07. | immortel | 08. | 09. | 10. |
Reste de l'année : 11 716 mots
Total écrit 2022 : 71 256 mots
=> Objectif 2023 : 100 000 mots.
Je vais essayer de comptabiliser les mots liés aux actions d'édition et aussi d'écrire un peu plus régulièrement au fil de l'année. J'aimerais également boucler la table ci-dessus.
« Après » – Stephen King – 3,5/5 : pas mal mais comparativement à d'autres de ses opus, ça reste moyen plus.
« Le K » – Dino Buzzatti – 3/5 : recueil de nouvelles du genre fantastique, style un peu daté mais pas désagréable.
« Nouveau départ » – Saga des Cazalet T4 – Elisabeth Jane Howard – 4/5 : j'ai aimé, j'aime, j'adore cette saga familiale qui se déroule en Angleterre autour de la seconde guerre mondiale. Mon coup de cœur absolu de ces 2/3 dernières années.
« Le duel des Gémeaux » – Robert Lundlum – 1,5/5 : oui, bon, c'est le titre qui m'a interpellée. Trouvé au fond d'un placard. C'était très nul. Très lent. Très ennuyeux. Quand on pense que c'est le même auteur qui a écrit "La mémoire dans la peau"...
« Les exilées de Troie » – Pat Baker – 2,5/5 : mouiiiii... mais non.
« La civilisation du poisson rouge » – Bruno Patino – 4/5 : essai sociologique qui tourne autour d'internet, des réseaux sociaux et de leurs ravages sur nos cerveaux. Intéressant.
« La ville de vapeur » – Carlos Ruiz Zafon – 4/5 : un auteur "valeur sûre" dont je sais que la plume ne me décevra jamais. Un conte plutôt young adult (c'est une trilogie mais chaque tome peut se lire indépendamment). Beaucoup aimé.
« Les sept soeurs - T1 » – Lucinda Riley – 1/5 : j'étais curieuse... Fuyez !
« Les vertus de l'échec » – Charles Pépin – 4,5/5 : petit recueil d'analyse philosophique de la notion d'échec. Instructif, déculpabilisant et très accessible. J'aurais eu un prof de philo comme ça, j'aurais moins joué à la belote au fond de la classe.
« La longue Terre » – Pratchett/Baxter – 1,5/5 : un pitch génial sacrifié sur l'autel de l'ennui et de la pire des caractérisations de personnages. Il paraît qu'il y a plusieurs tomes. Je m'arrête au premier, ça va aller, merci.
« Le Prieuré de l'Oranger - T2 » – Samantha Shannon – 3,5/5 : lu un peu trop longtemps après le premier donc difficile de raccrocher mais j'ai globalement bien aimé l'ensemble, il y a de bonnes idées, de beaux personnages, dommage que la fin soit expédiée.
« La papèterie Tsubaki » – Ito Ogawa – 4,5/5 : le coup de cœur de l'année, j'ai beaucoup aimé, et j'ai même versé quelques larmes. Le 0.5 point, c'est à cause de l'obsession pour la bouffe de l'auteure.
« De sel et de fumée » – Agathe Saint-Maur – 2,5/5 : la moyenne tout juste parce que je ne me rappelle de quasi rien de ce livre. Style appréciable même si parfois un poil too much. Dispensable.
« La bibliothèque des rêves secrets » – Michiko Aoyama – 4,5/5 : jolie découverte, qui résonnera avec ces périodes de la vie où on ne sait plus trop où on en est, et où on se rend compte que possiblement, on est en train de passer à côté de soi.
« L'homme aux murmures » – Alex North – 3/5 : mon polar annuel. Bien écrit, assez prenant mais décevant sur la fin.
« L'homme de l'inconnu » – Philip K Dick – 1/5 : comme le Duel des Gémeaux, trouvé dans les placards familiaux. Dick a fait des choses très très bien et des choses très très nulles. Celui-ci entre dans la seconde catégorie.
« Ravage » – Barjavel – 3,5/5 : relecture trente et quelques années après la première (j'étais donc au collège). Je ne me rappelais de rien, et certainement pas que cette histoire était aussi horrible et violente. Daté, forcément, mais visionnaire. Un peu trop pour les âmes sensibles.
« Si ça saigne » – Stephen King – 3,5/5 : recueil de 4 nouvelles, deux qui m'ont plu, deux moins, dont l'éponyme qui s'inscrit dans l'univers de Mr Mercedes et The Outsider, que je n'apprécie pas particulièrement.
« L'empire ultime » – Les Fils de Brume T1 – Brandon Sanderson – 3/5 : Med fan. Style simpliste (si, quand même), j'ai quand même eu du mal à entrer dedans mais une fois que j'y étais, les 1000 et quelques pages sont passées toutes seules. Toutefois, malgré de bonnes idées, ça reste très convenu et les personnages ne sont pas spécialement attachants. Il y a une suite mais je crois que je vais m'en dispenser.
« Le goûter du Lion » – Ito Ogawa – 4/5 : même auteure que la Papèterie, une histoire cette fois axée sur la fin de vie. Un sujet délicat traité avec délicatesse. La simplicité à la japonaise dans le style, j'ai aimé mais ai été moins remuée que pour la Papèterie. Et beaucoup de bouffe, encore.
« L’œuvre au Noir » – Marguerite Yourcenar – 4/5 : si, si, je vais très bien je vous assure. Pourquoi ? Parce que c'est un classique et que j'en avais entendu du bien. Dans les faits, niveau écriture, c'est de la haute voltige (et de temps en temps, vraiment, ça fait du bien à l'intellect), niveau histoire, c'est intéressant mais faut s'accrocher parce que l'histoire des Flandres au 16ème siècle, c'est pas le truc le plus passionnant du monde. Ceci étant, je constate que la mère Yourcenar, eh bien, elle aimait les héros gays : Hadrien, Alexis et maintenant Zénon.
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