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Date: 27 September 2010 09:07 am (UTC)no subject
Date: 27 September 2010 10:57 am (UTC)no subject
Date: 27 September 2010 11:40 am (UTC)Ce monsieur n'aurait pas eu autant de succès si ses livres ne revêtaient pas un certain intérêt aux yeux du lecteur lambda. Il faut au moins reconnaître cela.
Maintenant, moi non plus, tout comme Alake, je ne lirai pas ce qu'il écrit. Ne pouvant me fier qu'au résumé d'une histoire, je ne me sens pas attirée par cet auteur, même si parfois l'idée de base semble attractive.
Pour en venir à cet article, je le trouve caricatural. N'ayant jamais lu Marc Levy, je me garderai bien d'emettre une quelconque critique sur ses livres. Moi, je ne veux pas écrire comme Marc Lévy. Je veux écrire comme Herbert, Tolkien, Azimov, Auel ou Jacq mais avant tout trouver mon style.
Et j'ai réagi comme Alake à la fin de l'article. Marc Lévy semble s'être inspiré de lui-même pour créer son héros. Après tout pourquoi pas. C'est souvent plus simple de puiser dans sa propre expérience. La difficulté réside dans le fait de ne pas tomber justement dans le Gary-Suisime. Pas facile... Mais à partir du moment que ce n'est pas sytématique et récurrent dans chaque roman, on peut fermer les yeux.
no subject
Date: 27 September 2010 12:44 pm (UTC)A part ça je suis dégoûtée.
Je serai jamais riche.
Ou alors je fais une version moderne et OC du Ikki/Shaka (ils s'aimaient mais la religion de l'un et la propreté douteuse de l'autre se mettait en travers de leur relation...)
no subject
Date: 27 September 2010 01:36 pm (UTC)(Oh, il y a quand même des auteurs qui sont riches aussi et ne font pas le même style ^^;; Mais c'est vrai que la poésie, pour ça, c'est un mauvais choix ^^)
no subject
Date: 27 September 2010 03:09 pm (UTC)no subject
Date: 27 September 2010 03:40 pm (UTC)- Il a été le premier à flairer le filon? Ou disons plutôt qu'il n'en était pas conscient, avant que ça lui tombe dessus (depuis, il applique systématiquement la même recette). Le filon en question étant nourri par les éléments suivants:
* histoire ancrée dans la vie réelle (le quotidien, tout ça, ça rapproche le lecteur du propos, car il se reconnaît dans l'histoire).
* Un style bateau, passe partout. Pas élégant, non, mais des mots simples et correctement agencés pour être compris par une grande majorité, sans nécessiter une réflexion allant au delà de la première impression.
* de la romance qui se finit bien.
* la concision. Lire un Lévy, ça prend deux heures à tout casser, donc une utilisation acceptable du temps de cerveau disponible.
* un soupçon de fantastique dans certains opus, histoire que le quotidien ne le soit pas trop, justement.
- Médiatisation, effectivement, ajoutée à un rythme de parution régulier et un format calibré (pas trop court, pas trop long). Lévy ne serait pas grand-chose sans la machine marketing qui le porte à bout de bras.
- Livres de Lévy différents en ce sens où ils intègrent, condensent, synthétisent, en une seule fois tout ce qui est dispersé dans tel ou tel roman. Cf. liste de sous-arguments ci-avant. Lévy c'est le bouquet internet/téléphone illimité/télévision/mobile/canal +/ canal sat' à lui tout seul. On a l'impression d'avoir une offre exceptionnelle et unique, mais au final, y a toujours autant rien à regarder à la télévision.
Et comme il a été le premier à rafler la mise, par exemple, certains accusent Musso de le copier (ce qui n'est pas faux, d'ailleurs).
Lévy, on peut lui reconnaître une chose essentielle: celle d'avoir parfaitement compris la façon de vivre/lire/réfléchir de ses lecteurs. Et il est peut être un des seuls à pouvoir s'en targuer.
no subject
Date: 27 September 2010 03:41 pm (UTC)no subject
Date: 27 September 2010 03:49 pm (UTC)En gros, l'effet que te laisse un Lévy, c'est: "A y est, j'ai fini mon livre. Tiens, j'ai une machine à étendre!" Ca ne te laisse rien. Je veux dire, aussitôt lu, aussitôt oublié. Attention, l'expérience de lecture n'est pas désagréable en soi (heureusement), mais c'est... vide, quoi. Il y a des livres, quand on les termine, on a du mal à en sortir, ou on y réfléchit encore un petit moment, il est difficile d'en commencer un autre tout de suite après... Lévy, ça ne fait pas cet effet-là. Du tout.
Et fatalement, tu te rends compte que tu as perdu ton temps (supposant bien entendu que ton objectif personnel est de t'enrichir par tes lectures).
no subject
Date: 27 September 2010 03:55 pm (UTC)Les bouquins de Lévy, à mon sens, font écho à ces changements dans la société.
A ca tu rajoutes aussi un besoin d'évasion pas trop lointain des lecteurs, qui aspirent à un quotidien "magnifié".
no subject
Date: 27 September 2010 04:07 pm (UTC)Ils sont suivis par Fred Vargas (peux pas juger, jamais lu) et Werber (qui dans le genre "j'use ma recette jusqu'à la corde" avec un style d'une pauvreté proprement hallucinante...)
no subject
Date: 27 September 2010 04:13 pm (UTC)Mais bon, je persiste à dire que si c'était si facile, ils seraient beaucoup plus nombreux sur le coup. ^^
no subject
Date: 27 September 2010 04:15 pm (UTC)Non, vraiment, ce qui peut agacer, c'est que d'une part il a trouvé une niche confortable, et il n'en dépasse pas d'un iota, et que d'autre part, il n'y ait personne pour lui dire que ça commence à bien faire. De là, à se poser la question s'il a véritablement du talent ou s'il n'est capable de ne faire qu'une seule chose en boucle, il y a un pas que je n'hésite pas trop à franchir.
Le seul point qui pourrait expliquer sa "constance", ce serait la pression que lui colle sa maison d'édition pour qu'il sorte systématiquement un "truc qui marche". Ca ne serait pas étonnant, vu le marketing derrière. Ceux qui orchestrent la comm' ont pour tâche également d'analyser le public et ses attentes. D'où un certain status quo.
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Date: 27 September 2010 04:25 pm (UTC)De là, une question de fond peut se poser: qu'est ce qui explique le succès de ce type de romans?
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Date: 27 September 2010 04:27 pm (UTC)*vraiment pas au courant*
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Date: 27 September 2010 05:13 pm (UTC)no subject
Date: 27 September 2010 10:53 pm (UTC)no subject
Date: 29 September 2010 01:39 pm (UTC)Maintenant, quant à la notion de "nécessité", c'est tout aussi subjectif, hein...
no subject
Date: 29 September 2010 01:43 pm (UTC)Après, sur le fond, c'est peut être là qu'on peut pointer des irrégularités dans l'intérêt de ses romans. Je sais qu'après "Acide sulfurique", je l'ai un peu laissée tomber, parce que j'avais trouvé ce roman-là trop complaisant sur la fin, dans le sens où elle n'est pas allée au bout de la réflexion (ou qu'elle n'a pas osé?).
no subject
Date: 29 September 2010 01:46 pm (UTC)Après, quant à puiser dans sa propre expérience, je pense que, même volontairement, c'est difficile de faire autrement. Par contre, tout le truc, c'est d'essayer d'en être conscient, dans la mesure du possible, pour éviter de se faire piéger.
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Date: 29 September 2010 02:03 pm (UTC)no subject
Date: 29 September 2010 02:14 pm (UTC)no subject
Date: 30 October 2010 03:35 pm (UTC)Brrr, en ce qui me concerne je n'ai jamais pu réussir à accrocher à cette triade d'or gavalda/Levy/Musso.
Le plus agaçant c'est les gens autour de moi, qui ne comprennent pas " mais tu dois ABSOLUMENT les lire, c'est génial, blablabla ".
Non je ne trouve pas ça génial. C'est comme le Da Vinci Code de Brown, qui a fait un tabac médiatique alors que Le Nom de la Rose ou le Pendule de Foucault de Eco sont quand même vachement mieux ficelés. Comme Twilight comparé à Entretien avec un vampire.
Au risque de passer pour une élitiste, je trouve qu'on flatte de plus en plus l'esprit de facilité des gens. Des choses prédigérées et prémâchées, qui n'incitent à aucune réflexion. du nivellement par le bas jusque dans l'enseignement. (bon j'arrête sinon dans une heure j'y suis encore).
Sur Werber je te rejoint, Alaiya, j'avais beaucoup aimé le premier et le deuxième m'a donné un goût de déjà-vu. QUand à Nothomb, je n'accroche pas à tous - ils sont très inégaux - même si contrairement à Lévy, ils ne laissent jamais un sentiment de vide à la fin du livre. De malaise, pour ma part, mais pas de vide.
Mais si ça marche si bien, il aurait tort de se priver Lévy. Tant qu'on ne lui dit pas qu'il se copie d'un livre à l'autre... Il y a sûrement beaucoup de marketing derrière, qui le pousse à produire ce qui marche face au public. Peut-être s'est-il laissé enfermer dans ce style à cause de ça, malheureusement.
Il en faut pour tout le monde bien sûr, et si la majorité veut du Lévy, normal qu'on pousse la littérature vers le bas en produisant beaucoup de Lévy. Ca rapporte des sous, et l'argent est la valeur principale dans le monde ^_^
Que les gens aiment je n'y vois pas de mal, il y a assez de diversité littéraire pour toujours trouver son bonheur, j'aimerais juste pouvoir dire que je n'aime pas ou que c'est trop simple sans me faire lyncher ^^
Et si la critique est aisée, l'art est difficile, j'aimerais plutôt entendre l'opinion de grands écrivains sur le sujet.
Merci Alaiya, je me sens beaucoup moins seule sur le sujet tout à coup XD (en me relisant je me trouve d'humeur plutôt acide aujourd'hui, tant pis)
no subject
Date: 3 November 2010 01:34 pm (UTC)Rien que pour cette phrase, je te dis MERCI. Tu as clairement exprimé tout ce que je pense. Et je suis de ton avis: si j'ai envie de clamer que cette littérature-là, même si une énorme majorité la lit, je la considère sans intérêt et creuse, je veux pouvoir le faire sans m'entendre dire que je n'ai rien compris. Parce que, fatalement... il n'y a rien à comprendre.
A l'inverse, je peux comprendre quelqu'un qui me dit: "tel bouquin, je n'ai pas aimé parce que c'était trop difficile à lire/trop long/trop compliqué/trop de mots." Honnêtement, je ne jetterai pas la pierre, certains préfèrent se détendre, n'ont pas envie de se prendre la tête et sont fans des feux de l'amour. C'est la vie, il faut de tout pour faire un monde. Et dans l'idéal, d'ailleurs, il faudrait un panachage de tout cela, la culture s'en porterait bien mieux. Non, ce qui est consternant, c'est que la culture prisunic (monoprix pour certains) masque tout le reste. c'est même plus que consternant: c'est inquiétant.
no subject
Date: 5 November 2010 06:07 pm (UTC)Et pis j'ai bien regardé Hélène et les garçons moi... Il y a trèèèèèès longtemps. J'ai aussi des périodes sans prise de tête.
Mais c'est sûr que j'avais apprécié moyennement à 14 ans de me faire traiter de cinglée - et trucs moins gentils - par les petits camarades - pas tant que ça en fait - parce que je lisais les Misérables " pour le plaisir ".
Maintenant on ne me dit plus ça quand je mentionne Austen ou Maupassant - mais certains roulements d'yeux sont significatifs.
Non, il ne faut pas être trop à contre-courant de nos jours XD
Et j'étais de très méchante humeur, mais je venais en plus de me chamailler la veille avec quelqu'un qui n'aime pas les classiques et trouvait les livres imposés à l'école trop durs et trop chiants...
Tu es tombé pile sur un de mes chevaux de bataille ^^