Bhohoho. C'était fort marrant, et même si je n'ai jamais lu de Marc Levy (et que je n'ai certes pas l'intention de m'y mettre - ou alors pour le principe, pour ne pas mourir idiote. J'avais dit ça avec Twilight, aussi...), ça rejoint tout à fait ce qu'on m'en a dit. Des personnages aseptisés, sans défauts, sans pulsions, un monde où tout le monde il est beau tout le monde il est gentil... et je rêve ou l'auteur de l'article dénonce un cas flagrant de Gary-Stuisme sur la fin ?
Perso, j'en ai lu un et demi. Pourquoi "demi"? Parce que je me suis rendue compte que c'était la même chose que le premier.
En gros, l'effet que te laisse un Lévy, c'est: "A y est, j'ai fini mon livre. Tiens, j'ai une machine à étendre!" Ca ne te laisse rien. Je veux dire, aussitôt lu, aussitôt oublié. Attention, l'expérience de lecture n'est pas désagréable en soi (heureusement), mais c'est... vide, quoi. Il y a des livres, quand on les termine, on a du mal à en sortir, ou on y réfléchit encore un petit moment, il est difficile d'en commencer un autre tout de suite après... Lévy, ça ne fait pas cet effet-là. Du tout.
Et fatalement, tu te rends compte que tu as perdu ton temps (supposant bien entendu que ton objectif personnel est de t'enrichir par tes lectures).
no subject
Date: 27 September 2010 09:07 am (UTC)no subject
Date: 27 September 2010 03:49 pm (UTC)En gros, l'effet que te laisse un Lévy, c'est: "A y est, j'ai fini mon livre. Tiens, j'ai une machine à étendre!" Ca ne te laisse rien. Je veux dire, aussitôt lu, aussitôt oublié. Attention, l'expérience de lecture n'est pas désagréable en soi (heureusement), mais c'est... vide, quoi. Il y a des livres, quand on les termine, on a du mal à en sortir, ou on y réfléchit encore un petit moment, il est difficile d'en commencer un autre tout de suite après... Lévy, ça ne fait pas cet effet-là. Du tout.
Et fatalement, tu te rends compte que tu as perdu ton temps (supposant bien entendu que ton objectif personnel est de t'enrichir par tes lectures).